L’arsenal contraceptif devrait s’enrichir avec la diffusion de pilules à base de drospirénone seule, d’œstétrol, d’associations d’ulipristal et de lévonorgestrel pour la contraception d’urgence, de stérilets associant cuivre et nitinol, d’anneaux vaginaux à base de ségestérone et d’éthinylestradiol assurant une année de contraception. Des gels vaginaux à base d’acide lactique et d’acide citrique sont aussi développés.
Chez l’homme, un gel transdermique associant testostérone et acétate de ségestérone suscite l’espoir car il a démontré qu’il réduisait la concentration de spermatozoïdes. Autre voie à l’étude : le blocage, juste avant un rapport sexuel, de la mobilité et de la maturation des spermatozoïdes, par inhibition de l’adényl-cyclase. Les premiers essais animaux sont positifs, avec un retour complet de la fertilité en 24 heures.
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