Pour repérer les personnes obèses qui pourraient le plus bénéficier d’un soutien psychologique, l’équipe du Dr Jean-Baptiste Bonnet (CHU Montpellier) a testé diverses échelles chez des adultes dont l’IMC > 25. Les échelles de dépression et anxiété (HAD) et d’alimentation intuitive (IES-2) ressortent comme les plus discriminantes pour repérer les populations vulnérables.
À l’échelle d’obésité
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Publié le 23/02/2024
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Source : Le Quotidien du Médecin
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