L’étude du CNGE montre que du chemin a été parcouru en quelques années. En avril 2008, le syndicat national des enseignants de médecine générale (SNEMG), avait déjà réalisé le même type d’enquête. À l’époque, 25 UFR avaient mis en place un stage de médecine générale pendant le 2e cycle tandis que 8 autres y avaient renoncé « compte tenu du contexte ». Lorsqu’il était mis en place, ce stage était d’une durée beaucoup plus courte que celle des autres stages d’externat (3 mois à mi-temps ou 6 semaines à temps plein). Seulement 10 facultés respectaient alors la durée énoncée par le projet national. Dans 15 UFR, cette durée était plus courte que recommandée, avec, dans 6 d’entre elles, un stage de moins d’une semaine. « Ce stage reste une découverte très loin des objectifs de formation du projet dans 11 facultés avec une durée de moins de deux semaines », notait alors le SNEMG. Un tiers des facultés (11) avait réussi à sensibiliser tous ces étudiants à la discipline et une seule faculté, Nancy, avait alors mis en place un stage de trois mois à mi-temps pour l’ensemble de ses étudiants.
Mieux qu’en 2008
Publié le 27/05/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8778
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