«Presque toutes les spécialités ont pris le bouillon et plus particulièrement les médecins qui travaillent en établissement. Leur activité a été freinée, faute de pouvoir faire fonctionner les plateaux techniques. Face à ces baisses de revenus importants, nous appelons l'Assurance-maladie à faire un geste pour les 26 000 médecins qui doivent rembourser des indus dans le cadre du Dipa. L'État de son côté pourrait donner un signal fort en supprimant les six mois de stabilisateurs économiques pour que les revalorisations tarifaires de l'avenant 9 – comme la hausse de l'APC – s'appliquent dès 2021 !»
* président des Spécialistes-CSMF
Article précédent
Trois questions à Béchir Chebbah, président de l'UNASA
Article suivant
BNC : les anesthésistes en haut du palmarès
Dr Jacques Battistoni* : «La perte de revenus doit être compensée»
Trois questions à Béchir Chebbah, président de l'UNASA
Dr Franck Devulder : «Face à ces baisses, il faut un signal fort de l'Etat»
BNC : les anesthésistes en haut du palmarès
François Blanchecotte Président du Syndicat des biologistes
Combien de divisions ?
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme
Procès Le Scouarnec : la Ciivise appelle à mettre fin aux « silences » qui permettent les crimes