Le traitement des données Covid est essentiel pour la recherche. La Cnil, l'autorité de contrôle et de surveillance des données, qui vient de rendre son rapport 2020, a admis que ces informations soient réutilisées à des fins de recherche dans un cadre précis mais fluide. Concernant les délais de dépose des dossiers, ils ont été courts. 21 % l'ont été le jour même, 45 % en moins de deux jours, 63 % en moins d'une semaine. Qui a déposé les dossiers ? Ce sont principalement les universités publiques et CHU (40,5 %), suivis par l'AP-HP (36 %), l'Inserm (15,6 %) et d'autres organismes (privés ou bureaux d'études, 7,9 %). Où sont hébergées les données ? Principalement sur le portail de la Cnam (75 %), également sur la plateforme des données de santé (18,7 %). Enfin, les types d'études autorisées ont été réparties de façon égale. Celles n'impliquant pas la personne humaine ont été majoritaires (29,2 %), suivies par les trois catégories impliquant la personne humaine, avec d'abord celle de catégorie 1, avec risque médical élevé (28,1 %). Ensuite, celle de catégorie 2, avec risque médical minime représentait 23,6 % du total. Enfin, la catégorie 3 (aucun risque médical, recherches observationnelles) constituait 19,1 %.
Cnil
21% des dossiers de recherche liés à la Covid ont été traités le jour même
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Publié le 20/05/2021
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Crédit photo : GARO/PHANIE
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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