« J’ai entendu parler de ces nouvelles cotations mais je n’ai pas encore songé à les utiliser. J’avoue que je suis un peu en retrait de ce qu’on peut faire pour coter un peu plus. J’ai pourtant des patients qui correspondent à ces situations et j’ai toutes les informations à portée de main, mais ce n’est pas rentré dans mes habitudes d’exercice. Je pense toutefois que ces consultations sont très longues et que ces majorations sont méritées. C’est vrai qu’il faudrait que je m’y mette un peu. Cela ne me paraît pas trop compliqué même si, à mon avis, il faudrait tenir un tableau pour se rappeler des dates auxquelles ont déjà été réalisées ces cotations et ne pas se répéter. »
Dr Frédéric Rouquier*
« Ce n’est pas rentré dans mes habitudes »
Publié le 24/01/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Crédit photo : dr
*Saint-Cézaire-sur-Siagne (Alpes-Maritimes)
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2668
Article suivant
« Les généralistes ne sont pas informés »
« Ce n’est pas rentré dans mes habitudes »
« Les généralistes ne sont pas informés »
«Trop compliqué »
Nouvelles cotations, pour quoi faire ?
Aide médicale d’État (AME) : dans un centre de PMI en première ligne, deux sénateurs prennent le pouls du terrain
Un partenariat Doctolib/Afflelou ? Les ophtalmos libéraux ne font pas « tchin-tchin »
Enquête sur les restes à charge « invisibles » : 1 500 euros par an et par personne, alerte France Assos Santé
Missions, consultation et diagnostic, prescription : le projet Valletoux sur la profession infirmière inquiète (déjà) les médecins