• La puberté précoce centrale est fréquente chez la fille et le plus souvent idiopathique.
• La puberté précoce centrale est plus rare chez le garçon, mais le plus souvent secondaire à une maladie sous jacente ou une lésion cérébrale.
• Toute puberté précoce centrale identifiée justifie une imagerie cérébrale par IRM.
• Un traitement frénateur peut être discuté en fonction de l’âge, de l’évolutivité de la puberté (fille), de l’histoire familiale. Il est préférable de prendre un peu de temps et de revoir l’enfant plutôt que de poser une indication peut être injustifiée. La puberté précoce du garçon est souvent évolutive.
• Les pubertés dissociées doivent faire l’objet d’une surveillance régulière car parfois annonciatrices de puberté précoce centrale ou révélatrices d’anomalies gonadiques ou surrénaliennes.
• L’exploration des pubertés périphériques doit suivre une stratégie raisonnée, dominée par la recherche de deux étiologies majeures, une tumeur gonadique ou surrénalienne, une hyperplasie de surrénales.
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