Après l’injonction de l’ANSM adressée en septembre 2017 au laboratoire ALK de procéder à la mise en conformité de ses installations de fabrication de produits stériles et d’améliorer son système de gestion de la qualité pharmaceutique, le laboratoire a cessé la commercialisation de sa gamme d’Apsi (allergènes préparés spécialement pour un individu). Le laboratoire Stallergenes Greer a fait de même en janvier 2018.
Cela a conduit à l’interruption totale de la disponibilité des préparations Apsi par voie injectable. L’arrêt de fabrication des extraits allergéniques a bien sûr aussi entraîné la non-disponibilité des extraits à usage diagnostique par prick tests, qui sont considérés comme des produits injectables et soumis aux mêmes règles de stérilité.
Communication du Dr Habib Chabane (Paris)
Article suivant
Un premier consensus pour une pathologie parfois sévère
Des conséquences très pratiques
Un premier consensus pour une pathologie parfois sévère
Une prise en charge adaptée au phénotype
Pas toujours réfractaire
Le plus souvent, ce n’est pas une allergie
Pour les Américains, la désensibilisation peut s'envisager
Bientôt du nouveau pour l’arachide
L’arrivée du premier comprimé d’acariens
Focus sur les atteintes dermatologiques
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1