Lundi 12 octobre, de nombreux abonnés au compte Twitter de la CSMF ont reçu un curieux message privé (DM) de la part du syndicat, s’adressant à eux par leur nom et... rédigé en turc. Le message : « Yeni tasarimi », soit « Nouveau design », s’accompagne d’un lien. Les curieux qui auraient cliqué sur ce lien étaient renvoyés vers une page de connexion à leur compte Twitter. Un piège car il s’agit d’une imitation du site officiel, destinée à collecter les identifiants et mots de passe des victimes.
Message d’alerte
Alertée dès lundi soir de la supercherie, la CSMF a pris toutes les mesures pour contrecarrer ce piratage, après en avoir informé Twitter. À ce stade, le syndicat ne dispose pas d’informations sur son ampleur. Aucun message n’a cependant été publié sur sa timeline.
Dès lundi, en fin de soirée, les followers du compte officiel CSMF (plus de 420 membres) ont été alertés par message privé et invités à ne pas cliquer sur le lien douteux.
Ce mardi matin, la page frauduleuse n’était plus accessible et renvoyait vers un message d’alerte. « Plusieurs de nos followers nous ont demandé des explications, mais aucun ne serait tombé dans le piège » précise au « Quotidien » le responsable Twitter de la Confédération.
La CSMF n’est pas le seul utilisateur du réseau social à être ciblé par ce type de piratage. D’autres membres en ont fait l’objet, comme « le Quotidien » a pu le constater.
Protection de l’enfance : Catherine Vautrin affiche ses ambitions pour une « nouvelle impulsion »
Dr Joëlle Belaïsch-Allart : « S’il faut respecter le non-désir d’enfant, le renoncement à la parentalité doit interpeller »
Visite médicale d’aptitude à la conduite : le permis à vie de nouveau sur la sellette
Le dispositif Mon soutien psy peine à convaincre, la Cnam relance l’offensive com’