« Pour moi, le plus important à notre niveau en matière de sécurité du médicament, et ce qui est peut-être le moins fait, ce sont les coopérations professionnelles, notamment entre médecins et pharmaciens ou entre généralistes et spécialistes. Chacun travaille encore trop dans son coin. Or les analyses que nous avons conduites à la SFTG dans le cadre du Développement Professionnel Continu montrent que bien souvent, les événements indésirables ne sont pas tant liés au manque de compétence, de formations ou de connaissances des acteurs mais plus à la façon dont les différents intervenants communiquent et échangent des informations. »
*Médecin généraliste à Paris et membre de la SFTG
Article suivant
« Il faut récompenser la vertu »
« Chacun travaille encore trop dans son coin »
« Il faut récompenser la vertu »
Quand la CIA s’en mêle…
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis