L'ESC et l'EASD présentaient des recommandations conjointes sur « diabète et pathologies cardio-vasculaires ». Elles rappellent que tout angor doit faire systématiquement rechercher un diabète par le dosage de la glycémie à jeun, de l'HbA1c et, éventuellement, une hyperglycémie par voie orale. « Les scores de risque utilisés pour la population générale ne sont pas valables chez les diabétiques qui, en cas de coronaropathie, sont considérés comme à très haut risque », souligne Lars Ryden (Suède). Les recommandations sur la revascularisation ont été remaniées puisque que le diabétique coronarien stable est traité médicalement en première intention, en l'absence d'ischémie sévère ou de lésions touchant le tronc commun ou la coronaire droite. Elles privilégient aussi le pontage pour la revascularisation des lésions coronaires complexes ou multi-tronculaires.
Quid du coronarien diabétique
Publié le 11/10/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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