Debout du début à la fin dans l'unité de chirurgie ambulatoire de l'hôpital Saint-Joseph
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Un patient debout jusqu'au bloc
Accompagné d’un brancardier, le patient descend à pied au bloc opératoire. Au-delà de l’effet rassurant pour le patient rendu autonome, ce parcours « debout » change les pratiques anesthésiques. « Le recours à des anesthésiques locaux pendant l’intervention réduit l’usage de la morphine, ce qui favorise le réveil et la récupération », souligne le Dr Pascal Alfonsi, chef du service anesthésie de l’hôpital.
Crédit photo : S. Toubon

Un accueil numérisé
À son arrivée, le patient s’enregistre sur une borne électronique avant d’être reçu par une assistante médicale pour les dernières formalités administratives. Il est ensuite accompagné par une aide-soignante vers le vestiaire où une « tenue de l’opéré » lui est fournie (blouse, peignoir blanc en éponge, chaussons) ainsi qu’une pochette pour déposer ses prothèses (lunettes, dentiers, perruque, etc.) à l’entrée au bloc.
Crédit photo : S. Toubon

Un patient géolocalisé
Une fois en tenue, le patient rejoint une salle d’examen préopératoire où une infirmière vérifie ses constantes. Il est équipé d’un bracelet géolocalisable, baptisé DigiSoin. « La numérisation permet une uniformisation du parcours, une limitation des temps d’attente et une meilleure information de l’accompagnant », explique le Dr Monique Sigismond, anesthésiste et coordonnateur de l’UCA. Il est ensuite conduit en salle de transit pour patienter jusqu’à l’intervention.
Crédit photo : S. Toubon

Une position verticale pour une récupération optimale
Le retour du bloc opératoire se réalise sur un fauteuil ambulatoire modulable (position assise, allongée, etc.), la position verticale favorisant une récupération optimale dès la sortie du bloc. Le patient est conduit dans un box individuel pour surveillance. À cette étape, l’accompagnant est prévenu de l’heure de sortie du patient.
Crédit photo : S. Toubon

Un suivi à la maison
Le patient rejoint finalement le « salon » où une collation lui est proposée. Il est ensuite vu par un médecin qui signe son autorisation de sortie et est reçu par une infirmière qui lui remet son compte rendu d’hospitalisation, les documents nécessaires (ordonnances, arrêts de travail, etc.) et les consignes à suivre. Le lendemain de l’intervention, le patient reçoit un SMS pour assurer le suivi postopératoire. En cas de douleur ou de nausée et selon le degré d’alerte, il est appelé par une infirmière.
Crédit photo : S. Toubon

En amont de l'hospitalisation
Le parcours du patient au sein de l’UCA commence dès la programmation de l’intervention avec la remise d’un « passeport ambulatoire » qui retrace toutes les étapes de la prise en charge. L’avant-veille et la veille, le patient reçoit des SMS de rappel avec la convocation, l’heure définitive de passage et des consignes médicales.
Crédit photo : S. Toubon

Un patient debout jusqu'au bloc
Accompagné d’un brancardier, le patient descend à pied au bloc opératoire. Au-delà de l’effet rassurant pour le patient rendu autonome, ce parcours « debout » change les pratiques anesthésiques. « Le recours à des anesthésiques locaux pendant l’intervention réduit l’usage de la morphine, ce qui favorise le réveil et la récupération », souligne le Dr Pascal Alfonsi, chef du service anesthésie de l’hôpital.
Crédit photo : S. Toubon

Un accueil numérisé
À son arrivée, le patient s’enregistre sur une borne électronique avant d’être reçu par une assistante médicale pour les dernières formalités administratives. Il est ensuite accompagné par une aide-soignante vers le vestiaire où une « tenue de l’opéré » lui est fournie (blouse, peignoir blanc en éponge, chaussons) ainsi qu’une pochette pour déposer ses prothèses (lunettes, dentiers, perruque, etc.) à l’entrée au bloc.
Crédit photo : S. Toubon

Un patient géolocalisé
Une fois en tenue, le patient rejoint une salle d’examen préopératoire où une infirmière vérifie ses constantes. Il est équipé d’un bracelet géolocalisable, baptisé DigiSoin. « La numérisation permet une uniformisation du parcours, une limitation des temps d’attente et une meilleure information de l’accompagnant », explique le Dr Monique Sigismond, anesthésiste et coordonnateur de l’UCA. Il est ensuite conduit en salle de transit pour patienter jusqu’à l’intervention.
Crédit photo : S. Toubon

Une position verticale pour une récupération optimale
Le retour du bloc opératoire se réalise sur un fauteuil ambulatoire modulable (position assise, allongée, etc.), la position verticale favorisant une récupération optimale dès la sortie du bloc. Le patient est conduit dans un box individuel pour surveillance. À cette étape, l’accompagnant est prévenu de l’heure de sortie du patient.
Crédit photo : S. Toubon

Un suivi à la maison
Le patient rejoint finalement le « salon » où une collation lui est proposée. Il est ensuite vu par un médecin qui signe son autorisation de sortie et est reçu par une infirmière qui lui remet son compte rendu d’hospitalisation, les documents nécessaires (ordonnances, arrêts de travail, etc.) et les consignes à suivre. Le lendemain de l’intervention, le patient reçoit un SMS pour assurer le suivi postopératoire. En cas de douleur ou de nausée et selon le degré d’alerte, il est appelé par une infirmière.
Crédit photo : S. Toubon

En amont de l'hospitalisation
Le parcours du patient au sein de l’UCA commence dès la programmation de l’intervention avec la remise d’un « passeport ambulatoire » qui retrace toutes les étapes de la prise en charge. L’avant-veille et la veille, le patient reçoit des SMS de rappel avec la convocation, l’heure définitive de passage et des consignes médicales.
Crédit photo : S. Toubon