Les mécanismes d'action qui médient l'impact cancérogène des facteurs chimiques tels les perturbateurs endocriniens sont de mieux en mieux connus. Et l'expérience montre qu'ils sont fort nombreux !
On a en effet pu mettre en évidence : des dommages directs sur l'ADN ; des fixations sur AhR (R Hydrocarbure Aromatiques) qui participent au métabolisme des xénobiotiques ; des modifications épigénétiques (voies PIK3 et MAPK, activation de EZH2…) et même - des fixations directes sur les récepteurs aux oestrogènes (activité agoniste ou antagoniste).
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
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