Un test sanguin pourrait dépister le cancer colorectal.
D’après l’essai LUNAR-2, un simple test sanguin pourrait permettre de détecter le cancer colorectal, y compris à un stade précoce asymptomatique, avec une haute fiabilité (sensibilité de 91 % et spécificité de 94 %).
Les facteurs de fragilité n’influencent pas la tolérance.
Dans l’étude PALOMAGE, l’analyse d’une cohorte française de femmes de 70 à 98 ans, atteintes d’un cancer du sein avancé hormonosensible sans expression de HER2, montre que les facteurs de fragilité n’ont pas eu d’impact significatif sur la survenue d’une toxicité sévère (grade 3 ou 4).
Des disparités existent dans l’utilisation des tests génétiques.
Le recours aux tests génétiques, recommandés pour les cancers bronchiques non à petites cellules avancés ou métastatiques, est moins fréquent chez les patients noirs américains (10 % de moins). Ceci pourrait expliquer en partie qu’ils soient deux fois moins nombreux à participer aux essais cliniques.
Le carcinome oropharyngé serait détectable par un test salivaire.
Le NavDx (Naveris), un nouveau test salivaire permettrait de dépister un carcinome épidermoïde oropharyngé associé au papillomavirus (HPV). Dans une petite étude, il a détecté l’ADN viral présent dans le tissu tumoral de 43 échantillons sanguins (sur 46), et 44 prélèvements salivaires.
Le nombre de tumeurs liées à l’HPV est en lente régression.
L’incidence des cancers du col utérin a diminué aux États-Unis de 1 % par an entre 2001 et 2017. Dans les autres tumeurs liées à l’HPV (oropharyngée, anale, rectale), elle baisse de 2,3 % par an chez les hommes et de 1,3 % par an chez les femmes (incluant aussi les cancers vulvaires).
Une approche novatrice s’annonce prometteuse dans le sarcome.
Une nouvelle piste thérapeutique, impliquant des cellules T autologues génétiquement modifiées (afamitresgene autoleucel), constitue un espoir dans le traitement du sarcome synovial avancé, selon l’étude SPEARHEAD-1.
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