Au total, cinq études publiées depuis 2010, et notamment deux vastes études randomisées avec le plus long suivi de femmes traitées par tamoxifène durant 10 ans, ont mis en évidence un avantage en survie et en récidives à la fois globales et controlatérales.
Résultat, aujourd’hui les cancers du sein hormonodépendants relèvent :
• En préménopause : de 5 ans de tamoxifène, suivis de 5 ans supplémentaires si toujours en préménopause, ou de 5 ans d’anti-aromatase ou de tamoxifène si la femme est passée en post-ménopause.
• En post-ménopause : de 10 ans de tamoxifène ; ou d’un anti-aromatase ou du tamoxifène 5 ans, suivis de 5 ans d’anti-aromatase ; voire de 2-3 ans de tamoxifène, puis 5 ans d’anti-aromatase.
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