CE N’EST un secret pour personne, les berlines trois volumes ne sont pas la tasse de thé des Français. Excepté dans le créneau du « Premium », où les constructeurs allemands exercent un règne sans partage, ils boudent ce type de carrosserie. Depuis la Renault 16, nos concitoyens sont attachés à leur cher hayon comme un naufragé à son radeau.
Chevrolet exauce leurs vœux. D’abord lancée avec un coffre, la Cruze est maintenant au catalogue avec un hayon. Et cela risque de tout changer, même si le modèle quatre portes a connu un beau succès en raison de son excellent rapport qualité-prix. Grâce à cette fameuse cinquième porte, les pères de famille vont pouvoir disposer d’un espace modulable intéressant, puisque la banquette arrière est fractionnable selon la formule 2/3-1/3.
Cette deuxième version de la Cruze sera bientôt suivie d’une troisième. Le break, équipé du tout nouveau 1,7 l Diesel 131 ch, sera en effet présenté début mars au salon de Genève. Mais ce moteur annoncé, comme très souple, ne sera pas monté sur le monospace Orlando. Ce dernier poursuivra sa carrière avec le 2 l 130 et 163 ch Diesel, au moins à court terme. Il ne faut jamais dire jamais...
La Cruze 5 portes en bref
– 1,6 l,124 ch, essence : 16 500 euros (LS +), 18 000 euros (LT) ;
– 1,8 l, 141 ch, essence : 19 800 euros (LTZ), 21 400 euros (LTZ +) ;
– 1,7 l VDCI Diesel 131 ch : 18 500 euros (LS +), 20 000 euros (LT), 21 500 euros (LTZ) ;
– 2 l VDCI Diesel, 163 ch : 21 900 euros (LTZ), 23 500 euros (LTZ +) ; boîte auto : 21 300 et 24 700 euros.
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