La société française Netatmo, spécialisée dans les objets connectés (station météo, caméras d’intérieur Welcome et d’extérieur Présence…), commercialise des vannes connectées pour radiateur à eau (adaptables à plus de 90 % des modèles sur le marché). Se substituant facilement aux vannes thermostatiques classiques, sans avoir à purger son radiateur, elles modulent le débit d’eau dans les radiateurs en fonction de la température désirée, permettant d'économiser en moyenne 37 % d’énergie. La vanne, dessinée par Philippe Starck, est vendue 80 €, auxquels il faut ajouter le prix du thermostat Netatmo, soit 145 €.
Autre thermostat, Ween, autonome grâce à sa technologie en temps réel, permet à l’utilisateur de contrôler le système de chauffage à distance. L’application, qui repose sur une mise à jour effectuée toutes les dix minutes (sans venir affaiblir la batterie du smartphone), déclenche le chauffage en fonction du temps de transport nécessaire pour revenir à la maison. Les économies d’énergie estimées sont de 25 %, Ween coûtant 349 €.
Alors que les bains et douches représentent environ 40 % de la consommation d’eau des foyers, l’entreprise grenobloise Smart and Blue lance le pommeau de douche connecté Hydrao First, que l’on visse directement sur le tuyau et qui permet de surveiller sa consommation. Grâce à de petites LED, il change de couleur en fonction du nombre de litres d’eau utilisés (vert pour 10 l, bleu jusqu'à 20, rose jusqu'à 30, puis rouge jusqu'à 40 et rouge clignotant au-delà). On peut définir ses propres paramètres, la configuration et le suivi de la consommation s’effectuant via l’application Hydrao Smart Shower, disponible sur iOS et sur Android. 89,90 €.
Dans le même esprit, la colonne de douche à écran digital Homelody met l’utilisateur en face de ses responsabilités en affichant non seulement la température demandée via le mitigeur, mais aussi le temps passé sous la douche à consommer de l’eau. Environ 150 €.
Il fallait être français (en l’occurrence la start-up Uzer) pour baptiser Eugène le petit boîtier connecté à Internet que l’on colle sur le mur de la cuisine au-dessus de la poubelle et qui indique, après que l’on a scanné le code-barres d'un produit à jeter, dans quelle poubelle on doit le mettre (déchets organiques ou recyclage). L'application distingue même les parties de l’emballage qui sont recyclables et elle tient compte, en fonction de l'adresse, des consignes de tri locales. 99 €.
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