Les évolutions tarifaires qui accompagnent l’application de la convention continuent de faire des vagues.
A propos de la majoration récente du tarif des trois consultations obligatoires pour les nourrissons au bénéfice des médecins généralistes, le Syndicat national des pédiatres français (SNPF) joue la carte de l’ironie.
Alors qu’il n’y avait plus « d’enveloppe financière disponible » pour revaloriser suffisamment la pédiatrie, les pédiatres « s’étonne[nt] » que « plus de 4 millions d’euros soient attribués à la spécialité de médecine générale pour des consultations spécifiques...au nourrisson » de huit jours à 25 mois. « Le SNPF ne peut tolérer cette politique de discrimination de la nomenclature qui accentuera davantage l’écart des revenus entre la pédiatrie et les autres spécialités », tempête le syndicat.
Les pédiatres demandent que l’inscription des actes de néonatologie soit à l’ordre du jour de la prochaine Commission de hiérarchisation des actes et des prestations (CHAP) et la signature d’uin avenant spécifique.
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