La publication de ce constat n’est pas de vous pousser à réaliser des dépenses professionnelles inutiles même si, sur la foi de nos chiffres, vous pouvez escompter une réduction réelle avoisinant les 50 %, sauf situation fiscale ou/et sociale particulière. Mais au contraire de vous inviter à vous interroger sur les meilleurs moyens d’en augmenter paradoxalement leur prix de revient réel ! C’est-à-dire de chercher s’il n’est pas avant tout possible de diminuer nettement la pression de vos prélèvements obligatoires fiscaux et sociaux. Comment ? Essentiellement par les défiscalisations professionnelles citées en début d’article : location à soi-même, épargne salariale, CESU, etc. Sans oublier les autres pistes déjà signalées ici depuis début septembre 2021.
Nos orientations
Publié le 12/11/2021
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin
Pr Paul Frappé (CMG) : « Le métier de généraliste a besoin d’une reconnaissance européenne »
« Asphyxie », « folie douce » : colère unanime des médecins libéraux face à un Ondam soins de ville « intenable »
« Excusez-moi du terme, mais c’est un peu la chienlit » : à La Grande-Motte, les cadres du SML sonnent l’alarme
Le principal syndicat de kinés libéraux appelle à la grève le 18 septembre