Les prescriptions hospitalières exécutées en ville doivent être clairement identifiées, isolées et ne plus être affectées à l'enveloppe des soins de ville. Il faut qu'elles en soient retirées une bonne fois pour toutes ! Chaque année, elles contribuent à grignoter la moitié de l'ONDAM de ville, ce n'est pas normal. Il existe bien des contrats de maîtrise (CAQOS) mais ils sont globaux et signés entre les directeurs d'établissement et l'assurance-maladie. Or, il faut que l'hôpital identifie clairement tous ses prescripteurs et effectue une sensibilisation auprès de chacun d'eux.
Dr Jean-Paul Ortiz, président de la CSMF
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