En novembre 1977, sur une annonce du « Généraliste », grand format alors, suite au décès brutal d'un des trois médecins d'un « cabinet de groupe », structure très tendance à l’époque, j'ai intégré le Centre Médical Laënnec à Trélazé, dans la proche banlieue d'Angers.
37 ans se sont écoulés, passés à la vitesse de l’éclair dans une très agréable confraternité, désormais entre cinq praticiens.
Le moment de la retraite, tant espéré par bon nombre de salariés que nous suivons, est déjà arrivé mais comme j'ai toujours le même plaisir à retrouver notre équipe le matin et à exercer cette « médecine de famille » souvent plus de 55 heures par semaine, auprès de patients sur plusieurs générations dont encore certains du premier jour, j'ai donc opté pour une retraite active.
Ma succession, que ne précipitent pas mes associés, sera donc ouverte à une date restant à définir et que j'aurais tendance à repousser, peut-être publiée dans « Le Généraliste » , avec pour objectif une prise en charge de la patientèle qui assure une continuité rassurante et une ambiance professionnelle maintenue au sein de notre cabinet...
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