La chaussure idéale comporte une semelle en caoutchouc (même très fine) ou en élastomère de type caoutchouc ; proscrire la semelle en cuir comme dans toute pathologie du pied. La présence d’un cambrion rigide est indispensable même pour une chaussure à talon compensé.
› Le talon doit avoir une assise horizontale (pente de 0 à 10°), une hauteur entre 10 et 45 mm de dénivelé, en fonction de la hauteur des talons habituels et de la brièveté du triceps sural.
› La tige doit comporter un système d’attache sur le dos du pied ou de la cheville : bride, bande auto-adhésive, lacet, élastique…Il faut proscrire les modèles qui obligent le pied à se crisper pour retenir la chaussure à chaque pas (sabot, mule, mocassin, sandale, etc.). Il existe de nombreux modèles à privilégier : Derby, boots ou bottine, Salomé, Charles IX, Lamballe, Richelieu, Duc de Guise, etc.
› La chaussure représente la meilleure orthèse en cas de talalgie plantaire et doit être considérée comme un traitement à porter dès le lever, le matin, toute la journée en position debout, pendant 4 à 6 semaines en moyenne.
Cas clinique
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