Il faut évaluer les patients asthmatiques ou suspects de l'être en toute occasion : lorsqu’ils sont symptomatiques, après une exacerbation récente, lors d’une demande de prescription, etc. Le GINA indique comment évaluer le niveau de contrôle de l’asthme et les facteurs de risque d’évolution défavorable.
> Il existe 4 critères pour apprécier le contrôle :
I) Symptômes journaliers plus de 2 fois par semaine ;
II) Réveil nocturne pour asthme ;
III) Nécessité de prendre un traitement de secours (B2CA) plus de 2 fois par semaine ;
IV) Toute limitation d’activité due à l’asthme. L’asthme est bien contrôlé s’il n’existe aucun de ces symptômes, partiellement contrôlé s’il en existe 1 à 2, non contrôlé s’il en existe 3 à 4.
> Même si le contrôle est bon, les facteurs de risque d’évolution défavorable (exacerbation) sont :
I) une mauvaise adhésion aux CI ;
II) une technique d’inhalation incorrecte ;
III) une forte utilisation des B2CA ;
IV) un VEMS <60% ;
V) une allergie alimentaire (AA) associée.
> Il existe 4 critères pour apprécier le contrôle :
I) Symptômes journaliers plus de 2 fois par semaine ;
II) Réveil nocturne pour asthme ;
III) Nécessité de prendre un traitement de secours (B2CA) plus de 2 fois par semaine ;
IV) Toute limitation d’activité due à l’asthme. L’asthme est bien contrôlé s’il n’existe aucun de ces symptômes, partiellement contrôlé s’il en existe 1 à 2, non contrôlé s’il en existe 3 à 4.
> Même si le contrôle est bon, les facteurs de risque d’évolution défavorable (exacerbation) sont :
I) une mauvaise adhésion aux CI ;
II) une technique d’inhalation incorrecte ;
III) une forte utilisation des B2CA ;
IV) un VEMS <60% ;
V) une allergie alimentaire (AA) associée.
L'évaluation d’un patient non contrôlé comporte :
I) l’examen du patient en train d’utiliser son système d’inhalation ;
II) l’élimination des « faux asthmes ») ;
III) l’éviction des facteurs de risques (tabac, allergènes domestiques, allergènes professionnels).
> En cas d’asthme sévère, il faut adresser le patient un spécialiste ou à une clinique s’occupant d’asthmes difficiles à traiter et à équilibrer qui existent à tous les âges.
I) l’examen du patient en train d’utiliser son système d’inhalation ;
II) l’élimination des « faux asthmes ») ;
III) l’éviction des facteurs de risques (tabac, allergènes domestiques, allergènes professionnels).
> En cas d’asthme sévère, il faut adresser le patient un spécialiste ou à une clinique s’occupant d’asthmes difficiles à traiter et à équilibrer qui existent à tous les âges.
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