Le maintien de l’intégrité de l’épiderme interfolliculaire, barrière qui protège contre les agressions et la déshydratation, est essentiel à la survie de l’organisme. Deux modèles d’homéostasie s’opposaient jusqu’alors. L’un pointant une hiérarchie cellulaire, avec des cellules souches à longue durée de vie pouvant s’autorenouveler et donner naissance à des cellules à amplification transitoire. L’autre plaidant en faveur d’une équivalence de toutes les cellules prolifératives, appelée progénitrices avancées. Deux hypothèses qui se rejoignent : des travaux chez la souris montrent l’existence d’une hiérarchie cellulaire, avec des cellules souches et des cellules progénitrices avancées qui se divisent plus rapidement.
Épiderme interfolliculaire
Une homéostasie mieux cernée
Publié le 10/02/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9300
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