Parmi les préconisations du rapport Technologia, s’agissant des acteurs de la prévention et de la médecine du travail, vient en tête : « Énoncer et faire respecter les règles de la confidentialité, les devoirs de réserve et le secret médical. Cela suppose une remise en question éthique du management et des RH ».
Il conviendrait encore d’ « informer le management et les RH sur l’obligation légale d’un certain nombre de visites médicales et sur la nécessité d’informer le médecin et de respecter ses avis : embauche, reprise, accident du travail, avis d’aptitude, etc. »
Le rapport suggère aussi de « formaliser » et de « communiquer sur un processus d’alerte du médecin du travail, accessible à quiconque dans l’entreprise, pour signaler un salarié perçu en danger potentiel ». Et, là encore, il souligne : « Dans le respect du secret médical ».
Dans le cas de crise suicidaire, il demande la réalisation d’ « une étude pour percevoir la gravité des situations en associant médecine du travail, RH, secrétaire CHSCT, sur les conditions de travail et la santé des collectifs de travail ». Toujours « dans le secret médical ».
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