De par mon expérience en soins palliatifs (médecin hospitalier en HAD), je me suis rendu compte que la demande des patients venait notamment d’une crainte de la douleur. Nous avons des thérapeutiques, et notamment la sédation profonde et continue jusqu’au décès qui permet de maîtriser les situations complexes.
Dr Patrick Z
Preuve d’amour Je pense à un ami diagnostiqué Alzheimer qui, se voyant décliner, a « résolu » le problème au fusil de chasse. Une euthanasie (après réflexion, entretien avec des thérapeutes et ses proches) aurait été une belle et ultime preuve d’amour. Si cela nous fait peur, est-ce une raison pour le refuser à un être humain dans le but de nous « rassurer » et calmer nos angoisses ?
Dr Guy V_12
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En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
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Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature