Il y a quelques semaines, j’accompagnai mon épouse aux urgences dans le 74, pour une suspicion d’embolie pulmonaire. Arrivés à 18 h, nous sommes très bien accueillis, et mon épouse est prise en charge assez rapidement (elle n’est pas en détresse respiratoire). Elle est vue par un urgentiste, puis un cardiologue. Le diagnostic d’entrée n’est pas confirmé, mais le cardiologue préfère la garder du fait d’une désaturation modérée. Il y a un peu de monde, mais apparemment pas de surcharge. Le personnel nous apparaît suffisant. En quittant l’hôpital vers 21 h 30, encore des personnes dans la salle d’attente mais dont l’urgence de prise en charge ne saute pas aux yeux… L’atmosphère d’une salle d’attente de généraliste, en somme ! Propos entendu : « J’ai eu mal au genou en marchant dans la rue et je suis venue. »
Vous aussi, vous voulez réagir à l’actualité médicale ? Adressez-nous vos courriers accompagnés de vos nom, prénom et lieu d’exercice à redaction@legeneraliste.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature