À la suite d’un examen approfondi des preuves apportées par des études menées tant chez l’animal que chez l’homme, les experts ont exclu le risque potentiel que l’aspartame provoque des dommages aux gènes ou induise le cancer », déclare aujourd’hui l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).
Les experts ont également conclu que l’aspartame n’entraînait pas de dommage pour le cerveau et le système nerveux et qu’il n’affectait pas le comportement ou le fonctionnement cognitif chez les enfants et les adultes. « En ce qui concerne la grossesse, le groupe scientifique a noté qu’il n’existait pas de risque pour le développement du fœtus suite à une exposition à la phénylalanine dérivée de l’aspartame à la DJA actuelle (sauf chez les femmes souffrant de phénylcétonurie) », poursuit l’autorité européenne.
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