La ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a demandé une mission sur les actions pouvant être conduites pour « protéger les étudiants des dérives » liées au bizutage durant les week-ends d’intégration. Les conclusions de ce travail sont attendues d’ici deux mois, a-t-elle annoncé. Chargée de ce travail, la rectrice de Limoges, Martine Daoust (professeur de pharmacie), travaillera avec « les acteurs de la communauté universitaire, du secteur de la santé, les industriels du tourisme et du loisir ». La ministre a également demandé aux recteurs, « en lien avec les préfets, de recenser l’ensemble des week-ends d’intégration prévus dans les semaines à venir et de vérifier que les conditions sanitaires et de sécurité soient réunies ». « Dans le doute sur les conditions de sécurité », les week-ends d’intégration seront interdits par précaution. Une étudiante de 3e année de l’Institut commercial de Nancy (ICN), a déposé plainte, il y a quelques jours, pour un viol qui se serait déroulé lors d’un « week-end d’intégration » auquel participaient 507 élèves dans les Alpes-Maritimes.
BIZUTAGE
Un rapport dans deux mois
Publié le 05/10/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8829
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?
Endométriose : le ministère de la Santé annonce une extension de l’Endotest et un projet pilote pour la prévention