Dans le monde, 7 décès sur 10 sont désormais imputables à des maladies non transmissibles. En cause : l'alimentation, l'activité physique, le tabac, l'alcool… Et à l'autre bout du spectre : la chute des taux de mortalité du sida, du paludisme…
Issue d'une étude menée par le Lancet et l'Institut des mesures et évaluations de la santé (IHME) – et financée par la fondation Bill & Melinda Gates –, cette statistique photographie une évolution qui, pour être plus nette dans les pays développés qu'ailleurs, n'en reste pas moins globale : l'influence grandissante de nos modes de vie sur nos modes de mort.
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Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?