Sanctionné
pour avoir divulgué dans un livre (« Le Grand secret ») la vérité sur la santé du président Mitterrand et non pour l’avoir maquillée dans ses bulletins de santé, le Dr Claude Gubler propose aujourd’hui de tirer les enseignements de sa « triste expérience » : « Il suffirait d’instituer un partage rigoureux des rôles : d’un côté, le médecin, chargé du suivi du président et qui communique à celui-ci et seulement à lui ses conclusions ; de l’autre, le président, auquel revient d’assumer publiquement la responsabilité de communiquer sur sa santé. Le bulletin de santé doit dès lors être signé du président et non plus de son médecin. »
Les statines semblent améliorer la survie dans deux cancers du sang
Estro 2025 : du nouveau pour la désescalade en radiothérapie
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés