Connaissez-vous le Dr Hasnat Khan ? Non ? Premier indice : il est cardiologue… Toujours pas ? Deuxième coup de pouce, sa nationalité : pakistanaise. Vous séchez encore ? Allez, une dernière chance : il déferle depuis hier sur les écrans en galante et royale compagnie… Ça devient facile !
Le Dr Hasnat Khan aurait été, si l’on en croit le film « Diana » sorti hier – et le best-seller dont il s’inspire –, le dernier amour très secret de feue la princesse de Galles. Une romance à la sauce britannique où, en lieu et place du prince et de la bergère, on trouve une presque reine déchue et un chirurgien tout droit venu de l’ex-Empire des Indes (et nonobstant très gentleman puisqu’il a toujours tenu sa langue sur cette affaire).
L’idylle – impossible, bien sûr – commence à l’hôpital – le, évidemment, « Royal » Brompton Hospital de Londres, où, à la fin de l’été 1995, une amie de Diana présente la princesse activement caritative au ténébreux docteur.
« La princesse des cœurs » est sous le charme ; le cardiologue est quant à lui très vite dépassé par la situation. Les sunlights, le scandale – Diana va bientôt divorcer –, les paparazzis… très peu pour lui. Tout ce qu’il veut finalement, c’est exercer son métier en toute sérénité. La princesse ne s’en sort pas trop bien mais Hippocrate, lui, triomphe de l’amour.
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