- Au pénal, c’est au plaignant d’apporter la preuve de l’existence de la discrimination et de son caractère intentionnel. Les sanctions prévues sont lourdes (jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros)
- Au civil, lorsqu’il y a présomption de discrimination, c’est à la personne mise en cause de prouver qu’elle n’a pas fait de discrimination. Si elle n’y parvient pas, les condamnations peuvent atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros au titre des dommages-intérêts.
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?
Maladies infectieuses : les décisions mortifères des États-Unis