Vert et frisé ce chou aux propriétés nutritives impressionnantes est devenu l’un des plus consommés outre-atlantique. Mais le cousin du brocoli a du mal à s’imposer en France.
Pourtant nombreux sont les pays qui font ses louanges ; le Dr Drew Ramsey, assistant en psychiatrie à l’université de New York affirme qu’il est capable de réduire les risques de dépression, d’anxiété et d’Alzheimer : « ce que nous enseigne la kale c’est que bien manger permet d’augmenter la résistance de notre cerveau ».
Fort en vitamine A et K
Et pour cause, pour 100 g de kale, le taux en vitamine C avoisine les 120 mg alors qu’une orange n’en possède « que » 39,7 mg. Il offre des concentrations en vitamine A et K au-dessus des moyennes et est également une excellente source de calcium, 150 mg contre 121 mg dans un verre de lait. Imbattable. Il serait aussi doté de propriétés anticancéreuses.
Le ministère américain de l’agriculture (USDA) a indiqué que le nombre de fermes cultivant ce « chou plume » ou « chou frisé » a plus que doublé en 5 ans atteignant 2 500 fermes en 2012 contre 954 en 2007. Quelques cultures françaises fleurissent dans l’Hexagone mais on est encore loin de la folie américaine.
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque