« J'ai toujours très peur des semaines et des mois à venir. Cet état d'anxiété chronique est très différent de ce que nous avons connu en 2015. En 2015, il y avait de la stupéfaction mais pas de peur. Après l'attentat terroriste, la devise à Paris était "Tous en terrasse". Les rassemblements sociaux notamment dans les cafés et les bars ont aidé les gens à aller de l'avant après la crise. De nos jours, la devise est "restez à la maison". C'est une façon beaucoup plus déprimante de se battre », conclut le Dr Carl Ogereau (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris) dans un article paru ce jour dans The New England Journal of Medicine. Le parallèle entre 2015 et 2020 est au coeur de ce reportage réalisé par la correspondante européenne du journal. L'autre différence entre les deux épreuves est la créativité qui a permis cette année de créer des lits de réa dans des lieux impromptus. En 2015 la résilience était plutôt le maître mot. En attendant toutefois la suite.
Brève
Covid 19, l'hôpital Saint-Louis (Paris) vu de Boston
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Publié le 23/04/2020
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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