C'est le nombre de décès « imputables » chaque année au chômage. Le risque de décès des chercheurs d’emploi serait multiplié approximativement par un facteur 2 par rapport aux actifs du même âge. Cette surmortalité parait liée à des maladies (cardiovasculaires notamment), aux conséquences de comportements addictifs apparus après la perte d’emploi ou à des morts violentes (suicides et peut-être accidents).
Source : Rapport publié le jeudi 20 septembre 2018 par l'association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC).
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