« Nous étions sidérés, ahuris. Ce ne sont pas eux qui allaient participer à l'euthanasie de notre mère, mais d'avance, comme une punition, ils la mettaient à la porte. Dehors, une vieille femme de 102 ans... alors que leur travail est simplement de l'accompagner quelques jours avant. »
Dans le journal Libération, réaction indignée du fils (médecin) d'une femme de 102 ans hébergée dans un service de long séjour à Paris et qui avait demandé à être euthanasiée en Belgique le 10 octobre dernier. La patiente a finalement été réintégrée dans le service de soins palliatifs de l'hôpital.
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1
Handicap sévère et adolescence : une délicate transition à anticiper