Ce fut l'une des annonces phares du plan de santé présenté mi-septembre par Emmanuel Macron. Souhaitée par certains depuis longtemps, la suppression du numerus clausus a été actée et devrait intervenir en 2020. La réforme de la première année commune aux études de santé (PACES) qui sera menée en 2019 par Agnès Buzyn prévoit de mettre fin au gâchis humain du concours et de diversifier les profils des candidats aujourd'hui presque exclusivement tous issus d'un cursus scientifique, grâce à de nouvelles passerelles entrantes et sortantes.
Près de la moitié des lecteurs du Généraliste qui ont participé à l'enquête ont estimé que la suppression du numerus clausus, qui régulait depuis 1972 le nombre de médecins en formation, était l'annonce politique la plus marquante de l'année écoulée. Le combat de médecins pour le déremboursement de l'homéopathie arrive en deuxième position.
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